01-06-2006, 11:59 AM
Sans prétention si ce n'est d'amuser 2 minutes ...
Le joueur "techie" : passionné par la nouveauté, il veut être impressionné par tout ce qui peut traduire la technologie. Connaître au préalable une fiche technique, une résolution ou un nombre de polygones à la seconde l'aide grandement à apprécier un jeu : sans ça, difficile d'émettre un avis. Quand il se trouve en présence d'un jeu qui déchire, toutes les éloges vont directement au processeur : "Waooo c'est PUISSANT une n-bits !"
REMARQUE : il existe une branche de joueurs techies qui ont décidé de s'adonner aussi aux jeux rétro ... ceux-là vivent en plein paradoxe spatio-temporel et se font souvent des noeuds au cerveau pour justifier pourquoi ils aiment un jeu, d'où le fréquent recours à des phrases "clés" comme "ah ouais çui là il était bien en avance sur son temps ...", "La bande son était gé-niale, CD oblige !" ou encore "c'est impressionnant ce qu'ils ont réussi à faire avec seulement une 16bits"...
Le joueur "rétro" : il hésite à dire publiquement qu'il aime les jeux vidéo car c'est à chaque fois un grand moment de solitude il ne connaît pas les jeux du moment dont on lui parle spontanément et de même personne ne visualise vraiment à quels jeux il s'adonne. Pour lui la technologie n'est pas synonyme de progrès et la nouveauté ne lui a jamais inspiré la moindre excitation, il aurait même parfois tendance à s'en méfier. Il a besoin de prendre du recul pour savoir s'il aime un jeu ou non mais une fois qu'il rentre véritablement dedans il est capable d'y jouer avec une passion intacte pendant les 300 années à venir ! Le joueur rétro se caractérise souvent par son côté collectionneur : il stocke préventivement tout ce qu'il aime. Leitmotiv : "c'était mieux avant"
Le joueur "petite copine" : ce n'est pas un vrai amateur de jeux vidéo mais un joueur occasionnel qui apprécie les jeux dotés d'un principe simple et accrocheur, avec de belles couleurs et un bon mode 2 joueurs histoire de mettre de temps à autres des taules mémorables à sa moitié. Le joueur "petite copine" aime évoquer les humiliations infligées à son Jules même plusieurs mois après les faits, et même après avoir, entre temps, essuyé plusieurs défaites cinglantes (amnésie de rigueur). A noter : une partie contre un joueur de type "petite copine" se termine lorsque ce dernier décrète que c'est fini (le plus souvent à l'occasion d'une victoire).
Le joueur "encyclopédie" : il a de la bouteille c'est certain ... de loin il a l'air d'un jeune mais en y regardant de plus près ... bah y'a comme un truc tout chelou !? Il connaît tout sur tous les hits Arcade / micro / consoles depuis Pong et même avant, avec -cerise sur le gâteau- les dates de sorties (année, mois et parfois même le jour exact de sortie hexagonale !), il n'est jamais à cours d'anecdotes, te cite par coeur les noms des programmeurs, graphistes et sound designers de chaque éditeur, il te retrace les doigts dans l'nez toutes les affiliations entre des tas de jeux dont tu ignores l'existence ... . OK, cool et si on prenait un paddle ? "oh bof moi tu sais chui pas un grand joueur, je préfère vous regarder jouer du coin de l'oeil tout fond de mon canapé en buvant ma bière" ... hem, il a d'la bouteille le gars j'vous dis !
Le joueur "chauvin" : il a le sentiment d'avoir choisi son camp et il est prêt à vouer toute son admiration à un unique leader du monde du jeu vidéo, généralement fabricant de consoles. Ce qui est marrant avec le joueur "chauvin" au quotidien c'est que c'est très facile (et donc irrésistible) de le martyriser en égratignant perfidement sa marque fétiche : il démarre à chaque fois au quart de tour, défend son "écurie" bec et ongles -jusqu'à la mort- et n'admet jamais qu'on trouve (aussi) du bon (voire excellent) chez les autres ! Le joueur chauvin se sent parfois profondément trahi lorsqu'un éditeur habitué de sa console favorite développe subitement des jeux chez l'ennemi ... . Manichéen, pas spécialement de mauvaise foi mais homme d'honneur et de principes, le joueur chauvin est très rigolo
Le joueur "collection complète" : victime de sa passion exclusive pour une console spécifique (le plus souvent dotée de grosses cartouches noires) et de son tempérament jusqu'auboutiste, le joueur "collection complète" a développé un mal étrange : la fièvre du Jeveutou. C'est pourquoi il se met à acheter frénétiquement des quantités de jeux phénoménales ! Dans sa quête, rien ne semble pouvoir l'arrêter, ni un prix exorbitant, ni la médiocrité d'un jeu. A noter que la combinaison des deux facteurs n'est pas un frein : faire atterrir sur son étagère la daube infâme hors de prix du moment peut s'avérer être une nécessité vitale. Toujours en activité, grisé par la beauté de ses boîtes de jeux dont il connaît toutes les subtilités par coeur, il n'est jamais à cours de défis : "quand j'ai fini avec les Jap je m'attaque aux US", "j'aimerais bien trouver une étagère où je pourrais ranger tous mes jeux mais où on je les verrais quand même bien de mon lit", "T'as pas un truc contre la poussière ?" etc ... . Remarque : le plus étonnant chez le joueur "collection complète" c'est qu'il n'est pas celui qui connaît le mieux ses propres jeux !
Le joueur "sac" : joueur généralement de jeux en "versus", pas très doué mais qui joue pour "la gagne" malgré tout, donc joueur pour qui le plaisir ludique passe nécessairement par la victoire. Mais bon, comme il est pas doué justement, lors de ses défaites on a droit a un constant déballage d'excuses toutes aussi bidon les unes que les autres ... "avec ma config je te fait tourner", "j'ai pas mon joystick perso tu a de la chance", "je joue mieux sur la version console" etc ... . En cas de victoire attention les oreilles, vous risquez de l'entendre ! Même en le raisonnant le sac garde toujours un comportement et une technique a peu prêt similaire. A noter qu'il aime également beaucoup jouer avec des joueurs plus faibles que lui ou qui ne connaissent pas le jeu (pourquoi pas la frangine ou la petite copine ?). Leitmotiv : "la prochaine fois j' te fûme !"
Le joueur "boulet" : nous voilà en face du Pierre Richard du jeux vidéo. Joueur souvent occasionnel, il montre souvent beaucoup d'entrain à jouer, un peu comme si on l'avait toujours privé de ce loisir. les parties à proximité de ce joueur consistent généralement à constamment expliquer ou réexpliquer les règles du jeu, les mouvements spéciaux ou autres techniques plus qu'à jouer à proprement parler ... . Fortement apprécié dans les jeux online ou d'équipes, sa grande spécialité (en plus des questions) ce sont ses énormes gaffes qui provoquent souvent une hécatombe dans son propre camp ! De plus le boulet peut parfois se montrer ingrat vis à vis des joueurs qui l'ont porté à bras le corps ... . Phrases emblématiques : "Ah ? c'était toi ... désolé je t'ai pris pour l'ennemi" , "désolé de vous avoir laissé tomber les gars mais j'ai vu du danger" , "Quoi ? Mais non je t'ai pas piqué l'objet ultra rare lâché par le boss, pendant que tu me protégeais. J'ai juste été plus rapide que toi " , "Quoi ? j'ai ramené tous les monstres de la map droit sur vous ?" ... Leitmotiv : "comment t'as fait ça, allez explique moi !!!"
Le joueur "la parlotte" : c'est en réalité un faux joueur mais véritable moulin à paroles qui prétexte un après-midi videoludique pour t'abreuver de monologues inintéressants sa sans jamais s'arrêter ! S'il se retrouve en groupe il va immédiatement détecter l'individu qui ne sait pas dire STOP et lui mettre le grapin dessus dès que ce dernier aura passé le paddle ... sans jamais lui laisser la moindre chance de le reprendre ! A deux il pousse parfois le vice jusqu'à faire semblant de jouer dans les moments où l'action est telle que tu ne capteras pas qu'il est game over depuis perpette : cela lui libère des neurônes qu'il consacrera sans scrupules à son art. Les plus philosophes d'entres nous voient en lui un bruit de fond qui s'ajoute à celui du ventilo. Erreur à ne jamais commettre avec un joueur "la parlotte" : combler les moments de blancs par des petits mots qui tendraient à lui faire sentir que vous acquiescez ("oui" / "ouais" ou même un simple "hm-hm") ça repart ilico pour un tour (dans le jargon on appelle ça remettre 10 balles dans l'compteur). ERREUR FATALE : ne jamais se montrer en désaccord avec le joueur "la parlotte" : cela blesserait son orgueil et l'amènerait à reprendre méthodiquement toute sa démonstration depuis le début, en vous demandant une attention soutenue et vous allez devoir acquiescer à tout ce qu'il dit la partie est foutue, l'après-midi également !
à compléter ...
Le joueur "techie" : passionné par la nouveauté, il veut être impressionné par tout ce qui peut traduire la technologie. Connaître au préalable une fiche technique, une résolution ou un nombre de polygones à la seconde l'aide grandement à apprécier un jeu : sans ça, difficile d'émettre un avis. Quand il se trouve en présence d'un jeu qui déchire, toutes les éloges vont directement au processeur : "Waooo c'est PUISSANT une n-bits !"
REMARQUE : il existe une branche de joueurs techies qui ont décidé de s'adonner aussi aux jeux rétro ... ceux-là vivent en plein paradoxe spatio-temporel et se font souvent des noeuds au cerveau pour justifier pourquoi ils aiment un jeu, d'où le fréquent recours à des phrases "clés" comme "ah ouais çui là il était bien en avance sur son temps ...", "La bande son était gé-niale, CD oblige !" ou encore "c'est impressionnant ce qu'ils ont réussi à faire avec seulement une 16bits"...
Le joueur "rétro" : il hésite à dire publiquement qu'il aime les jeux vidéo car c'est à chaque fois un grand moment de solitude il ne connaît pas les jeux du moment dont on lui parle spontanément et de même personne ne visualise vraiment à quels jeux il s'adonne. Pour lui la technologie n'est pas synonyme de progrès et la nouveauté ne lui a jamais inspiré la moindre excitation, il aurait même parfois tendance à s'en méfier. Il a besoin de prendre du recul pour savoir s'il aime un jeu ou non mais une fois qu'il rentre véritablement dedans il est capable d'y jouer avec une passion intacte pendant les 300 années à venir ! Le joueur rétro se caractérise souvent par son côté collectionneur : il stocke préventivement tout ce qu'il aime. Leitmotiv : "c'était mieux avant"
Le joueur "petite copine" : ce n'est pas un vrai amateur de jeux vidéo mais un joueur occasionnel qui apprécie les jeux dotés d'un principe simple et accrocheur, avec de belles couleurs et un bon mode 2 joueurs histoire de mettre de temps à autres des taules mémorables à sa moitié. Le joueur "petite copine" aime évoquer les humiliations infligées à son Jules même plusieurs mois après les faits, et même après avoir, entre temps, essuyé plusieurs défaites cinglantes (amnésie de rigueur). A noter : une partie contre un joueur de type "petite copine" se termine lorsque ce dernier décrète que c'est fini (le plus souvent à l'occasion d'une victoire).
Le joueur "encyclopédie" : il a de la bouteille c'est certain ... de loin il a l'air d'un jeune mais en y regardant de plus près ... bah y'a comme un truc tout chelou !? Il connaît tout sur tous les hits Arcade / micro / consoles depuis Pong et même avant, avec -cerise sur le gâteau- les dates de sorties (année, mois et parfois même le jour exact de sortie hexagonale !), il n'est jamais à cours d'anecdotes, te cite par coeur les noms des programmeurs, graphistes et sound designers de chaque éditeur, il te retrace les doigts dans l'nez toutes les affiliations entre des tas de jeux dont tu ignores l'existence ... . OK, cool et si on prenait un paddle ? "oh bof moi tu sais chui pas un grand joueur, je préfère vous regarder jouer du coin de l'oeil tout fond de mon canapé en buvant ma bière" ... hem, il a d'la bouteille le gars j'vous dis !
Le joueur "chauvin" : il a le sentiment d'avoir choisi son camp et il est prêt à vouer toute son admiration à un unique leader du monde du jeu vidéo, généralement fabricant de consoles. Ce qui est marrant avec le joueur "chauvin" au quotidien c'est que c'est très facile (et donc irrésistible) de le martyriser en égratignant perfidement sa marque fétiche : il démarre à chaque fois au quart de tour, défend son "écurie" bec et ongles -jusqu'à la mort- et n'admet jamais qu'on trouve (aussi) du bon (voire excellent) chez les autres ! Le joueur chauvin se sent parfois profondément trahi lorsqu'un éditeur habitué de sa console favorite développe subitement des jeux chez l'ennemi ... . Manichéen, pas spécialement de mauvaise foi mais homme d'honneur et de principes, le joueur chauvin est très rigolo
Le joueur "collection complète" : victime de sa passion exclusive pour une console spécifique (le plus souvent dotée de grosses cartouches noires) et de son tempérament jusqu'auboutiste, le joueur "collection complète" a développé un mal étrange : la fièvre du Jeveutou. C'est pourquoi il se met à acheter frénétiquement des quantités de jeux phénoménales ! Dans sa quête, rien ne semble pouvoir l'arrêter, ni un prix exorbitant, ni la médiocrité d'un jeu. A noter que la combinaison des deux facteurs n'est pas un frein : faire atterrir sur son étagère la daube infâme hors de prix du moment peut s'avérer être une nécessité vitale. Toujours en activité, grisé par la beauté de ses boîtes de jeux dont il connaît toutes les subtilités par coeur, il n'est jamais à cours de défis : "quand j'ai fini avec les Jap je m'attaque aux US", "j'aimerais bien trouver une étagère où je pourrais ranger tous mes jeux mais où on je les verrais quand même bien de mon lit", "T'as pas un truc contre la poussière ?" etc ... . Remarque : le plus étonnant chez le joueur "collection complète" c'est qu'il n'est pas celui qui connaît le mieux ses propres jeux !
Le joueur "sac" : joueur généralement de jeux en "versus", pas très doué mais qui joue pour "la gagne" malgré tout, donc joueur pour qui le plaisir ludique passe nécessairement par la victoire. Mais bon, comme il est pas doué justement, lors de ses défaites on a droit a un constant déballage d'excuses toutes aussi bidon les unes que les autres ... "avec ma config je te fait tourner", "j'ai pas mon joystick perso tu a de la chance", "je joue mieux sur la version console" etc ... . En cas de victoire attention les oreilles, vous risquez de l'entendre ! Même en le raisonnant le sac garde toujours un comportement et une technique a peu prêt similaire. A noter qu'il aime également beaucoup jouer avec des joueurs plus faibles que lui ou qui ne connaissent pas le jeu (pourquoi pas la frangine ou la petite copine ?). Leitmotiv : "la prochaine fois j' te fûme !"
Le joueur "boulet" : nous voilà en face du Pierre Richard du jeux vidéo. Joueur souvent occasionnel, il montre souvent beaucoup d'entrain à jouer, un peu comme si on l'avait toujours privé de ce loisir. les parties à proximité de ce joueur consistent généralement à constamment expliquer ou réexpliquer les règles du jeu, les mouvements spéciaux ou autres techniques plus qu'à jouer à proprement parler ... . Fortement apprécié dans les jeux online ou d'équipes, sa grande spécialité (en plus des questions) ce sont ses énormes gaffes qui provoquent souvent une hécatombe dans son propre camp ! De plus le boulet peut parfois se montrer ingrat vis à vis des joueurs qui l'ont porté à bras le corps ... . Phrases emblématiques : "Ah ? c'était toi ... désolé je t'ai pris pour l'ennemi" , "désolé de vous avoir laissé tomber les gars mais j'ai vu du danger" , "Quoi ? Mais non je t'ai pas piqué l'objet ultra rare lâché par le boss, pendant que tu me protégeais. J'ai juste été plus rapide que toi " , "Quoi ? j'ai ramené tous les monstres de la map droit sur vous ?" ... Leitmotiv : "comment t'as fait ça, allez explique moi !!!"
Le joueur "la parlotte" : c'est en réalité un faux joueur mais véritable moulin à paroles qui prétexte un après-midi videoludique pour t'abreuver de monologues inintéressants sa sans jamais s'arrêter ! S'il se retrouve en groupe il va immédiatement détecter l'individu qui ne sait pas dire STOP et lui mettre le grapin dessus dès que ce dernier aura passé le paddle ... sans jamais lui laisser la moindre chance de le reprendre ! A deux il pousse parfois le vice jusqu'à faire semblant de jouer dans les moments où l'action est telle que tu ne capteras pas qu'il est game over depuis perpette : cela lui libère des neurônes qu'il consacrera sans scrupules à son art. Les plus philosophes d'entres nous voient en lui un bruit de fond qui s'ajoute à celui du ventilo. Erreur à ne jamais commettre avec un joueur "la parlotte" : combler les moments de blancs par des petits mots qui tendraient à lui faire sentir que vous acquiescez ("oui" / "ouais" ou même un simple "hm-hm") ça repart ilico pour un tour (dans le jargon on appelle ça remettre 10 balles dans l'compteur). ERREUR FATALE : ne jamais se montrer en désaccord avec le joueur "la parlotte" : cela blesserait son orgueil et l'amènerait à reprendre méthodiquement toute sa démonstration depuis le début, en vous demandant une attention soutenue et vous allez devoir acquiescer à tout ce qu'il dit la partie est foutue, l'après-midi également !
à compléter ...